alice@insurmee.ai

Zurich Holding Company of America, filiale du groupe Zurich Insurance, a fait l’acquisition de SpearTip, une entreprise de contre-ingérence cybernétique qui aide les clients à se protéger contre les menaces cybernétiques grâce à des services proactifs et de réponse. Cette acquisition élargit les services de gestion des risques cybernétiques disponibles chez Zurich Resilience Solutions, une division mondiale de Zurich’s Commercial Insurance Business, afin de répondre aux besoins croissants des clients en matière de gestion globale des risques cybernétiques dans un paysage de risques complexe. Zurich Resilience Solutions dispose d’une équipe interne de spécialistes de la gestion des risques cybernétiques qui fournissent des évaluations objectives de la posture de cybersécurité des entreprises et de leur environnement de menaces uniques, avec un soutien consultatif pour renforcer la résilience globale face aux cybermenaces. SpearTip fournit des services de réduction des risques cybernétiques depuis 2005 et aide les organisations à identifier leurs risques et vulnérabilités en matière de cybersécurité en proposant des services dans trois domaines fonctionnels principaux : détection et réponse gérées/centre des opérations de sécurité, réponse aux incidents, y compris la médecine légale numérique, et services de conseil. Aon, par l’intermédiaire de sa filiale White Rock Insurance (SAC) Ltd., a demandé le retour de 136,7 millions de dollars à Vesttoo, une insurtech en difficulté. Selon Aon, cette somme est un collatéral distribué à la société. Pendant ce temps, Vesttoo a entamé une procédure de restructuration du chapitre 11 et a licencié 75 % de son personnel. Aon a également obtenu une ordonnance de restriction temporaire pour geler les fonds de Vesttoo en raison d’allégations de lettres de crédit frauduleuses/forgées soutenant des transactions de réassurance garantie. Vesttoo a choisi de se placer sous la protection du chapitre 11 afin de poursuivre ses activités régulières tout en étant protégée contre les créanciers. L’entreprise a déclaré qu’elle souhaitait éviter la liquidation et qu’elle poursuivrait en justice les responsables de la fraude liée aux lettres de crédit.